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Très illustre maison de la Bretagne, d'une haute antiquité, dont les premiers auteurs connus sont: Eudes croisé en 1248 (Chartes latines de 1191 à 1249 relatives aux croisés, provenant du cabinet Courtois) Yvon, archer dans une montre de 1378 reçue par Olivier le Moine, capitaine de Lesneven, père de Yvon, seigneur de Kergoulauarn, marié vers 1400 à Catherine de Kerouzéré, dont: Guillaume, époux en 1437 d'Adelice le Barbu, dame de Tromenec; Hervé, seigneur de Kerbringal, dont la postérité s'est fondue dans Silguy. Guillaume, seigneur de Tromenec, tua en duel en 1600 François de Kermavan, dernier du nom; un abbé de Lantenac en 1731, mort en 1786. La branche de Kergoulauarn, fondue en 1578 dans le Rouge; la branche de Tromenec fondue en 1619 dans Kegorlay, d'où la terre de Tromenec est passée par alliance aux du Trèvou, puis aux Bihannic. Le seigneur de Kermarquer paroisse de Rostrenen, débouté à la réformation de 1668. Autre branche: Pierre, seigneur de Trénoust, vivant en 1468, père de Sylvestre, vivant en 1497; deux échevins de Nantes en 1575 et 1600; six auditeurs et maîtres des comptes depuis 1632. Le seigneur de la Croiserie, paroisse de Rougé, lieutenant du prévôt des maréchaux à Châteaubriant, et les seigneurs de la Gatelière, de la Rablaye, paroisse de la Chapelle-sur-Erdre, et du Pescher, paroisse de Saint-Herblain, déboutés à la réformation de 1669, paraissent issus de la même famille, ainsi que les seigneur de Launay et de Beauvais, paroisse d'Auverné. Jean, de la paroisse d'Yffiniac, se dit noble et ne paie rien des fouages en 1423 et s'arme ès mandements de Monsieur; Geoffroi son fils, anobli par le duc Pierre en 1454; Louis marié vers 1503 à Bienvenue le Moënne, de la maison de la Touche, père d'Etienne, époux en 1535 d'Anne de Kerprigent. La branche de la Villerabel